La rentrée tardive
mercredi 14 novembre 2012Le soleil a percé les nuages et du coup ils ont tous disparu comme s’ils n’étaient jamais là.
Comme si l’on n’a pas eu cette pluie battante qui menaçait d’inonder. Comme si l’eau ne coulait pas par flot dans la rue et l’on ne pouvait pas promener le chien normalement.
Il fait bon pour mi-novembre.
J’ai fini les travaux au jardin. Il vaut mieux dire terminer car on ne finit jamais au jardin. Il demande votre présence chaque jour. Mais heureusement la nature s’endort pour l’hiver et l’on peut se reposer aussi.
Cette année la rentrée fut longue pour moi.
En revenant des vacances début septembre, j’ai attaqué le jardin et la maison. J’aime faire joli partout.
La vie culturelle demande beaucoup de temps aussi.
Une sortie à Martigny pour admirer la nouvelle exposition était très agréable. Elle est là jusqu’au 25 novembre. Ca vaut la peine d’aller la voir.
Au Grand théâtre de Genève en septembre, Le Barbier de Séville n’était pas mal du tout. Par contre en octobre « Gizèle » m’a déçue.
Les couleurs méditerranées à la galerie Artvera’s / Genève / nous ont renvoyés de nouveau dans le monde merveilleux des vacances. Mais les belles montres au musée Patek Philippe ont rappelé que les vacances étaient terminées et que c’était l’heure de travailler.
Je n’ai pas vu novembre arriver. Il règne dans le jardin et arrache les dernières feuilles des arbres pour me les faire ramasser. Il m’a annoncé à son dixième jour que j’avais une année de plus.
Il était gentil quand même d’avoir arrêté la pluie ce jour-là juste le temps de notre sortie à Lausanne pour visiter la vielle ville et le musée des beaux-arts. Il va annoncer à Titi le seize que lui il aura 14 ans. On va fêter cela aussi.
J’ai ouvert mon blog abandonné. J’ai visité tous mes amis. La vie de la blogosphère bouillonne comme toujours. Il n’y a que moi qui suis absente. Alors je reviens.
Je suis heureuse de vous retrouver. Je vous remercie tous pour m’accepter comme votre amie. C’est le refrain de cette belle chanson qui parle de l’amitié et de la vie. On a assez de rythmes, écouter une belle mélodie repose tellement.